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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 23:19


Une nuit qu’éveillé, j’arpentais les éthers,

En un point de l’espace où se perd la lumière,

Quand de l’onde infinie dissipant le mystère,

Se dressa devant moi une porte d’hier.

 

M’approchant, je la vis qui changeait de structure.

Les battants se fondant, modèlent sur fond noir,

De mon corps énervé, la copie la plus pure.

Il semblait qu’à présent, je fixais un miroir.

 

Et mes mots sur ses lèvres se reflètent un à un,

Pour finir scintillant, emportés par le vent,

Dans l’onde assombrie aux reflets éclatants

Où la nuit vient baigner mille perles de satin.

 

En ciel de coelostat, le temps s’est arrêté.

Les secrets essentiels que nous cèlent les astres

Un à un se révèlent, parfums éventés

De flacons divins ignorés de vos prêtres.

 

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